Homéopathie et vaccinations

 

Mon propos ici est seulement d’indiquer les remèdes homéopathiques à donner en cas de vaccinations acceptées ou imposées. Chemin faisant, je préciserai les raisons du choix des remèdes recommandés.

En cas de vaccination contre la diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, haemophilus influenzae b, méningocoque C, prendre :

          - Apis mellifica 9 C

          - Thuya 9 C H

          -  Silicea 9 CH

Quel que soit l’âge du patient et à chaque renouvellement des vaccins, prendre trois granules de chaque (soit 9 granules en une seule prise), la veille et le matin de la vaccination puis 3 granules de chaque 4 fois par jour pendant 3 jours.

Pourquoi ces 3 remèdes ?

         - Apis mellifica parce que ce remède efface les effets d’infiltration et d’envahissement non pas du produit vaccinal lui même mais de la mémoire néfaste qu’il laisse dans l’économie vitale après vaccin. Apis mellifica supprime les formations de zones devenues hyper-réactives et de zones devenues peu réactives conformément à son empreinte (voir Apis mellifica sur ce site à la rubrique "Génie des remèdes"). Apis mellifica annule ainsi dans la substance vitale les zones à réactions différenciées.

        - Thuya parce que ce remède efface les effets de brisures et de tuméfactions induites dans l’économie vitale après vaccin (voir Thuya dans "Génie des remèdes"). Thuya supprime les séquelles de fragmentations et d’hypertrophies invisibles mais réelles dans la mémoire vitale du vacciné conformément à son empreinte.

       - Silicea parce que ce remède efface les effets néfastes lointains induits par le vaccin. L’empreinte du remède Silicea appose une lente assimilation physique et une vive assimilation intellectuelle (voir site). Autre façon de dire, Silicea est utile lorsqu'il y a une réaction physique tardive chez une personne dotée d’une grande vivacité mentale ou encore, pour ce qui concerne le vaccin, un long délai avant de réagir physiquement chez une personnalité vive intellectuellement. Le remède Silicea annule ainsi d’emblée les séquelles lointaines du vaccin.

En cas de vaccination contre l’hépatite B, ajouter les remèdes suivants :

         - Phosphorus 9 CH

         - Chelidonium 9 CH

         - Crotalus horridis 9 CH

Même posologie, même temps de prise.        

Pourquoi ces 3 remèdes ?      

       - Phosphorus en raison de son empreinte en laquelle une force allonge, étire vers le haut et une autre alourdi et compresse vers le bas, deux forces qui ainsi protègent le foie contre les lésions semblables du vaccin.

       - Chelidonium pour les mêmes raisons puisque son empreinte, proche de celle de phosphorus, est fort bien adaptée à la configuration et au volume hépatique puisque son empreinte est faite d’une force qui soulève à l’horizontale comme une barre altère et d’une force qui tire en pointe vers le bas en un goulet d’étranglement. Et cela il rectifie les dégâts produits par le vaccin de l’hépatite B.

     - Crotalus horridis, remède fabriqué à partir du venin du serpent du même nom, prévient les mini-infarcissements hépatiques provoqués par ce vaccin.

En cas de vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons, ajouter :

       - Morbillinum qui est un remède confectionné à partir de sécrétions bucco-pharyngées de personnes souffrant de rougeole. Ce remède a montré son efficacité à prévenir les réactions post-vaccinales de la rougeole, de la rubéole et des oreillons. Posologie et temps de prise idem.

Précision concernant les remèdes recommandés ci-dessus : en 35 ans de pratique, je n'ai jamais constaté d'effets néfastes post-vaccinaux grâce à ces prescriptions. L'efficacité de leur protection est, pour moi, indéniable.

        Un mot sur les vaccinations anti-Covid, avec vaccins à ARN messager tels Pfizer, Moderna et CureVac. Ce sont des vaccins qui injectent, non pas le virus amoindri1, mais des molécules d’acide ribonucléique (ARN) dont le message conçu et programmé en laboratoire, est de faire fabriquer, par les cellules musculaires et celles du système immunitaire, une protéine spécifique du virus, la protéine S (spike) qui permet au virus Covid-19 de se fixer et d’infecter l’individu atteint. Il y a là une prouesse technologique et une monstruosité médicale. Prouesse parce que l’homme a pu imposer à notre ARN de fabriquer cette protéine spike permettant de déclencher une réponse immunitaire visant à nous protéger contre cette même protéine spike lors d’une éventuelle contamination. Monstruosité parce que, une fois injecté dans l’organisme et malgré les multiples affirmations rassurantes des laboratoires, on ne sait rien des effets lointains de cet ARN messager. Aucune atteinte sur notre génome disent-ils. Peut être rien sur notre ADN aujourd’hui mais sur le long terme ? Et déjà d’indéniables complications post vaccinales. Récemment, en fin février 2024 une étude internationale, conduite par l'organisation Global Vaccine Data Network sur 100 millions de personnes ayant reçus les vaccins surtout à ARN messager Pfizer, Moderna et aussi un vaccin recombinantAstraZeneca a confirmé les suites de myocardite, de paralysie de Bell, de convulsions, de péricardites et de syndrome de Guillain-Barré après vaccination (en moyenne 42 jours après l'administration de ces vaccins). Il y a lieu de rester très vigilants sur les suites, notamment chez les enfants.

       Que peut-on proposer en homéopathie contre les effets néfastes des vaccins à ARN messager ? Peu de choses. On peut prendre Apis, Thuya et Silicea comme indiqué plus haut et ajouter Luesinum, remède des destructions organiques et Zincum metallicum (voir site) dont l’empreinte, faite de plissements et de déplissements, représente une inter-forme entre deux états, comme entre un ARN normal et un ARN modifié. Même posologie et même temps de prise.

                                                                                      Avril 2024


1 Les vaccins classiques sont préparés avec le virus lui même après avoir atténué ou aboli sa virulence par chaleur, alcool et autres moyens de réduction. Le virus utilisé dans le vaccin perd ainsi sa nocivité mais garde sa structure antigénique qui ainsi permet la synthèse des anticorps, gardiens de notre santé.

2 Le vaccin à protéine recombinante est fait avec un dérivé de la protéine Spike (S) du coronavirus. Cet antigène protéique purifié ne peut ni se répliquer, ni provoquer la COVID-19, il ne contient pas d’ARN messager.

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